L’ Aliya n’était pas pour les Juifs américains. 1948-1952
L’ Aliya n’était pas pour
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un sujet d’une réalité délicate
qui n’a pas souvent été présenté.
Malgré les appels de Ben Gourion, peu de sionistes américains iront en Israël rejoindre les survivants de la Shoah.
Trois ans et demi après la création de l’Etat d’Israël, Ben Gourion, son président, est amèrement déçu. Il écrit le 24 septembre 1951 à Bernard Rosenblatt, un vétéran du sionisme : « J’ai mentionné dans mes déclarations aux dirigeants du sionisme américain ma déception que pas même cinquante d’entre eux n’aient émigré en Israël depuis que l’Etat a été créé ».[1] Un chiffre insignifiant pour les Etats-Unis, un pays où vivent 5 600 000 Juifs, la plus grande communauté juive du monde.[2]
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Categories: Marc-André Charguéraud
Tags: american jewish committee, Ben Gourion, Bernard Rosenblatt, communauté juive, Daniel Frisch, Diaspora, Eliahu Dobkin, etats unis, Jewish Morning Journal, Joseph Proskauer, Juifs américains, l’American General Federation of Labour, l’Etat d’Israël, Moshe Sharett, sionisme, yehuda bauer, Zionist Organisation of America
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